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DANS LA PRESSE

Johann Sebastian Bach, Johannes Passion - Paris, mars 2018

"Vincent Lièvre-Picard est toujours aussi engagé comme Évangéliste, prenant vraiment tous les risques de superbe manière – où l’on comprend magnifiquement le texte, d’une articulation musicale sensible, projetée et donc efficace : ce que l’on attend du narrateur."

Michel Roubnet, concertclassique.com

Michaël Levinas, Le Petit Prince - enregistrement Claves, octobre 2017

"The other main role of The Aviator is taken by the tenor Vincent Lièvre-Picard, who provides a solid foil for The Prince."

Richard Hanlon, Music Web International

Johann Sebastian Bach, Markus Passion - Festival d'Ambronay, septembre 2015

"L'incandescent Evangéliste du ténor Vincent Lièvre-Picard — déjà fort admiré dans ce rôle essentiel en 2014, lors de la Passion selon Jean dirigée par Itay Jedlin à Ambronay."

Sophie Bourdais, Télérama

 

Michaël Levinas, Le Petit Prince - Théâtre du Châtelet, Paris, février 2015

"L’équilibre du plateau vient de la première longue scène entre l’Aviateur, incarné par le ténor Vincent Lièvre-Picard, et le Petit Prince."

Chrstian Wasselin, Opéra Magazine

 

"Jeanne Crousaud contraste idéalement avec la santé vocale du ténor Vincent Lièvre-Picard, l’aviateur qui, lui, a bien les pieds sur terre."

Philippe Venturini, Les Échos

 

"Le Petit Prince et L'Aviateur sont interprétés avec brio et sensibilité par Jeanne Crousaud et Vincent Lièvre-Picard. L'Aviateur de Vincent Lièvre-Picard a un timbre touchant et une belle présence sur scène."

Sabino Pena-Arcia, www.classiquenews.com

 

 

"Pour bien chanter d'amour", récital à Paris, janvier 2015

On put à maintes reprises l'applaudir ici et là, dans la musique sacrée comme dans la profane, souvent dans la française et plus précisément dans celle qu'aujourd'hui l'on dit "baroque". Il s'appelle Vincent Lièvre-Picard, il possède un ténor léger d'une exquise clarté, timbre idéal à servir les Évangélistes des Passions de Bach comme à caresser une ouïe énamourée. "Pour bien chanter d'amour, dit l'air éponyme de Michel Lambert, il faut être amoureux" : voilà tout le programme de cette délicieuse heure de chant dont le dire exemplaire s'orne d'une gracilité secrètement aiguisée (...)."

"Entendre Vincent Lièvre-Picard en soliste dans une grande fresque sacrée ou un opéra est un enchantement (...), mais c'est un moment privilégié que d'assister à ce récital fort sensiblement élaboré."

Bertrand Bolognesi, anaclase.com

 

Michaël Levinas, Le Petit Prince - Opéra de Lausanne, novembre 2014 (création mondiale)
"Le ténor charnu de Vincent Lièvre-Picard donne de l'aviateur un portrait à la fois viril et sensible."

Emmanuel Dupuy, Diapason Magazine

 

"Ténor au timbre charnu, Vincent Lièvre-Picard est un Aviateur à la fois énergique et sensible."

Bruno Serrou, brunoserrou.blogspot.com, blog d'actualité de la musique d'ajouird'hui


Jean-Sébastien Bach, Passion selon saint Jean - Festival d'Ambronay, septembre 2014
"L'Evangéliste de Vincent Lièvre-Picard fait l'objet de toutes les attentions."

Le Progrès

 

"Évangéliste admirable, Vincent Lièvre-Picard se montra véritablement habité par le récit qu'il fit de la Passion. Loin de s'en tenir à la simple narration, il sut animer et donner chair au texte pourtant factuel comme s'il s'agissait de son propre vécu. Constant dans sa présence, Vincent Lièvre-Picard donne l'impression de chanter comme l'on respire, avec naturel et une fluidité parfaite qui rendent son propos poignant."

www.musebaroque.fr

 

"Vincent Lièvre-Picard est un Evangéliste fort agile: sa voix claire et légère est parfaitement adaptée à ce difficile rôle de conteur du drame et de distributeur des rôles."

www.classicma.com

 

Jean-Sébastien Bach, Passion selon saint Jean - Nuits de la Citadelle, SIsteron, août 2014

"Michel Corboz dispose d'un atout précieux grâce à ses chanteurs (...). Sur la droite avec le continuo, Vincent Lièvre-Picard fait très forte impression en Evangéliste, expressif, très habité, d’une précision irréprochable, avec des aigus faciles et nullement détimbrés."


Jean-Philippe Rameau, Grands Motets - Théâtre du Capitole de Toulouse, février 2013
"Vincent Lièvre-Picard, taille et Alain Buet, basse, sont égaux à eux-mêmes, c'est-à-dire irréprochables."

www.blogculture31.com

 

"Le récit « Et enim passer invenit sibi domum » est confié à Vincent Lièvre-Picard dont la voix de haute-contre « à la française », la finesse et la sensibilité sont exactement celles que réclame la musique de Rameau."

www.classictoulouse.com


Jean Gilles, Messe en ré - disque Ligia Digital

"L'éloquence ciselée par les quatre solistes, notamment un Vincent Lièvre-Picard radieux, répond à la vitalité efficace des Eléments."

Diapason, janvier 2013

 

"Vincent Lièvre-Picard, emblème du parfait haute-contre à la française. Les interventions de cet artiste sensible dans le Et in Terra Pax et l'Agnus Dei constituent des sommets d'émotion."

www.classictoulouse.com


Jean Gilles, Messe en ré - La Chaise-Dieu, août 2012
"Vincent Lièvre-Picard, ténor haute-contre, émacié et comme saisi par la grâce a osé un chant piano et des ornements de dentelles ineffables. L'artiste devient un poète inspiré et la voix est d'une facilité déconcertante."

www.classiquenews.com


Jean Gilles, Messe en ré - Toulouse, mai 2012
"Le haute-contre Vincent Lièvre-picard prouve la profondeur de ses graves sans jamais détimbrer. On ne peut que louer ce chanteur pour la beauté de son timbre clair et pourtant charnu, la souplesse et l'élégance de ses phrasés, la musicalité de ses nuances et ornementations. Son solo de l'Agnus Dei (...) sera l'un des moments de grâce de ce concert."

 www.classiqueinfo.com

 

Beata est Maria, motets à trois voix d'hommes, Marc-Antoine Charpentier, Montauban - octobre 2011

"Peut-être ne connaissez-vous pas encore le nom de Vincent Lièvre-picard. Voici une véritable haute-contre à la française, c'est-à-dire un vrai ténor à l'aigu d'une facilité étonnante, au timbre très pur. Et une musicalité naturelle à l'unisson de l'approche générale. C'est Vincent Lièvre Picard qui apporte bien des couleurs abondantes. La beauté de la voix du haute-contre nous est connue et la facilité de l'émission est confondante. Plus la voix monte plus elle semble libre.  Il nous gratifie d'un supplément d'émotion dans le Salve Regina. L'écoute mutuelle, avec ses collègues offre des audacieuses nuances quasi infinitésimales (...). Vincent-Lièvre-Picard, sa modestie dû-t-elle en souffrir, a été le joyau de ce concert. Rayonnant de bonheur à chanter comme un dieu, il a apporté une très rare et précieuse émotion humaine à nombre de pièces."

www.musebaroque.fr

 

Passion selon saint Matthieu de Bach, Festival de La Chaise-Dieu - août 2011

"Des deux ténors (...), c'est Vincent Lièvre-Picard qui, par un Ich will bei meinem Jesu wachen également unique, mérite toutes les louanges : pour sa beauté de verbe, son délié et sa clarté d'aigus scellant l'apport à ce répertoire d'un vrai métier de haute-contre."

www.appoggiature.net

 

Passion selon saint Matthieu de Bach, Toulouse - mars & avril 2011

"Mais le héros de la soirée est incontestablement le ténor Vincent Lièvre-Picard, qui soutient avec un art confondant l'écrasant rôle de l'Évangéliste. C'est lui qui, avec l'orchestre, porte le drame de bout en bout, tant dans les récitatifs secco que dans les sublimes arias de Sébastien. Son habituel timbre de haute-contre lui est d'un secours certain pour maîtriser cette tessiture terriblement haute pour un ténor. Sa parfaite diction de l'allemand met parfaitement en valeur la profondeur du texte de Picander s'intercalant dans le texte évangélique, ajoutant une force émotionnelle toute de fragilité. Le face à face entre le chef et l'Évangéliste offre une complicité aussi belle à voir qu'à entendre."

www.resmusica

 

"Vincent Lièvre-Picard, dont le timbre brillent de haute-contre impressionne ailleurs, sait modérer son soleil ardent pour mettre le texte en valeur. La terrible tessiture de l'Évangéliste, qui en a éprouvé plus d'un et des très grands, lui semble aisée et il arrive même à mettre tendresse et douceur dans ces hauteurs qui ailleurs seraient héroïques. Sachant la splendeur de ses aigus triomphants, on apprécie particulièrement la fragilité et l'émotion douce qu'il sait y mettre. Un Évangéliste simple et humain qui touche par sa candeur et sa profondeur artistement mêlées."

www.classiquenews.com

 

"Le ténor Vincent Lièvre-Picard est chargé du rôle stratégique de l'Évangéliste. Il en assume l'autorité, pais aussi et surtout la sensibilité. L'intense progression du drame lui doit beaucoup."

www.classictoulouse.com

 

Passion selon saint Jean de Bach Strasbourg - avril 2011

"Avec le ténor Vincent Lièvre-Picard, on bénéficia d'un Évangéliste exemplaire par la vivacité et l'exact rythme de la déclamation, et de l'aisance d'une voix constamment sur la brèche."

les Dernières Nouvelles d'Alsace

 

Lamentations de Jean Gilles, Toulouse - octobre 2009

"Appréciant comme souvent le timbre chaleureux d'Anne Magouët, on goûte la finesse de la taille Bruno Boterf, ainsi que le déclamation précise d'Alain Buet. Mais notre admiration se porte sur la magnifique prestation du haute-contre Vincent Lièvre-Picard. Il maîtrise parfaitement ce timbre si français de ténor aigu, ne négligeant pas les diminutions ou variations de fin de phrase."

www.resmusica.com

 

"De tous les solistes c'est indubitablement Vincent Lièvre-Picard qui se fait remarquer. Sa très belle voix de haute-contre, ce ténor rayonnant si typiquement français, fait merveille dans chacune de ses interventions. Il maîtrise à la perfection le style si typiquement français avec des diminutions en fin de phrases qu'il réalise avec beaucoup de goût."

www.classiquenews.com


Atys de Lully, Logis de La Chabotterie - août 2009
"Le plaisir est toujours au rendez-vous lorsqu'il d'agit d'entendre le haute-contre Vincent Lièvre-Picard qui, ce soir, se distingue par l'élégance notable et l'extrême clarté de son chant, particulièrement présent : tout à la fois léger et prégnant comme un Zéphyr (Prologue)."

www.anaclase.com

 

"this spellbinding performance also features Vincent Lièvre-Picard’s sweet high tenor Morphée."

www.gramophone.co.uk


Grands Motets de Lully, Journées Lully de Versailles - novembre 2008
"Dès l'abord de Plaude lætare Gallia, la voix de Vincent Lièvre-Picard domine la distribution ici réunie. Outre un chant d'une élégance absolue, la clarté du timbre et la précision de l'émission capturent l'écoute. [?] Après la réalisation particulièrement tonique des oppositions d'O fons amoris, la perfection médusante de la vocalise de Lièvre-Picard sur Cantica gloriæ ne saurait être plus à-propos."

www.anaclase.com


"Nous retiendrons, mais bien injustement pour les autres, Vincent Lièvre-Picard et Catherine Padaut dont l'expressivité et l'engagement dans le O lacrymae touchent au sublime."

www.resmusica.com

Requiem de Gilles, Festival de La Chaise-Dieu - août 2008 / Toulouse - mars 2008
"Les excellents solistes, notamment le timbre cristallin du haute-contre Vincent Lièvre-Picard et la voix claire et chaude de la basse Alain Buet, ont répondu à la précision et la haute qualité du choeur."

www.musicaeterna.com
 

"Enfin, Vincent Lièvre-Picard s'est révélé un parfait héros de tragédie-lyrique."

www.forumopera.com

 

"Androgynes", création de Claude Brumachon pour deux danseurs et un chanteur, Centre Chorégraphique National de Nantes - Nantes, Opéra Graslin, mars 2008

"Il y a l'homme, Claude Brumachon, la femme, Claire Richard et celui qui chante aussi, le ténor Vincent Lièvre-Picard. Il faut ici souligner à quel point ce jeu à trois fonctionne bien, notamment grâce à l'osmose qui se crée avec le chanteur, au corps quasiment aussi agile que celui des danseurs, mais apportant quand même une dimension différente."

Gérard Mannoni, www.altamusica.com


Requiem de Gilles avec Les Passions (disques Ligia Digital) -  2008
"La beauté sonore et expressive de Vincent Lièvre-Picard, véritable « haute-contre à la française »."

www.classictoulouse.com


Ulisse de Rebel avec La Simphonie du Marais (disques Accord) -  2007
"Signalons aussi les rôles de haute-contre, nombreux, mais épars. Lors des concerts parisiens à la Cité de la Musique, ils étaient confiés à Howard Crook, et l'on pouvait craindre de tout perdre en changeant de chanteur, mais c'est le contraire qui se produit. Car Vincent Lièvre-Picard est peut-être bien la relève d'Howard Crook avec une voix du même type, à la fois héroïque et terriblement douce, sensible et touchante là encore. [...] Reste à lui proposer de vrais rôles pour voir s'il est aussi capable d'habiter un rôle. Il faut rendre grâce à Hugo Reyne de nous faire connaître cette haute-contre qui nous aidera sans doute beaucoup à moins regretter son aîné lorsqu'il se retirera de la scène lyrique ? mais nous avons encore un peu de temps."

www.musebaroque.fr


"Les seconds rôles sont tout à fait honorables, avec une mention spéciale pour Vincent Lièvre-Picard, qui assume à lui seul cinq personnages différents, en parvenant à préserver l'identité de chacun."

www.jardinbaroque.mabulle.com


Beata est Maria, motets à trois voix d'hommes de Charpentier, Toulouse - octobre 2007
"La voix de Vincent Lièvre-Picard est très belle, homogène sur toute la tessiture. Aucune dureté, aucun besoin de force, elle semble planer toujours sans efforts. Les nuances sont exquises et la musicalité du chanteur est sidérante."

www.resmusica.com


Luctus de Morte Theresiae de Charpentier, Sinfonia en Périgord - août 2005
"Enfin, deux ravissements absolus, cet après-midi : l'art de Vincent Lièvre-Picard, haute-contre à la française, savamment projeté, livrant un chant qui sait ménager le rendu général et profiter de ce qu'offre la partition, servi par un phrasé sensible, intelligent, et un timbre qui ne manque pas de couleur."www.anaclase.comMonodies de Georges Migot, Atelier Musical de Touraine, octobre 2005"Les cinq Monodies pour soliste a capella s'élevaient à la voix du ténor Vincent Lièvre-Picard dans la nef de l'église des Fondettes. Diction parfaite, timbre clair, Vincent Lièvre-Picard apportait à ces pièces au tour savamment populaire un ton de poésie à la fois fragile, candide et héroïque. Touché par la simple beauté de son chant (et l'excellence de la performance), le public, ravi, retenait son souffle, mais non ses applaudissements."La Nouvelle République

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